Réinvestissement dans les écoles : rien ne bouge

Le temps file, le premier bulletin arrive vite, renchérit Kathleen Legault de l’Amdes, qui explique par exemple qu’il est actuellement bien difficile de libérer de jeunes enseignants pour qu’ils reçoivent du mentorat, ou encore de demander à des professionnels comme des orthophonistes d’accompagner davantage d’élèves, de crainte de dépasser le nombre d’heures rémunérées maximal.
Il faut sortir des scénarios d’improvisation, implore-t-elle.